Catégories : FANTASME
il y a 9 ans
EDUCATION BOURGEOISE CHEZ LES SOEURS
I) L'arrivée à Sainte-Ursule
Justine leva doucement les yeux pour examiner les autres voyageurs. Soeur Dominique s'était assoupie, elle qui n'aurait jamais toléré que la jeune élève puisse lever les yeux sur un homme. La voie ferrée n'était pas bonne et le compartiment bondé s'agitait de tremblements. Justine s'aperçut alors que son voisin d'en face la regardait. Le gros homme rougeaud détourna le regard lorsque les yeux bleus de Justine le fixèrent.
C'était une drôle de jeune fille. Blonde, les cheveux longs retenus par un bandeau, toute de bleu vêtue, elle ressemblait à une collégienne versaillaise. Sa jupe plissée bien tirée sur ses genoux découvrait à peine le bas de ses jambes qu'elle tenait serrées. Le pull à col rond dissimulait mal une poitrine naissante. Un mouvement un peu rude du train réveilla Soeur Dominique.
Immédiatement la vieille, furieuse de s'être assoupie, jeta un coup d'oeil sur la jeune pupille. Celle-ci avait repris la position à laquelle on l'avait éduquée, jambes serrées, yeux baissés. Soeur Dominique était satisfaite de celle-là: une bonne jeune fille, très obéissante, un peu secrète mais toujours prête à rendre service. Seule Soeur Dominique savait que la jeune orpheline était issue de la bonne société. Et même si le couvent l'avait recueillie très petite, elle avait conservé cette distinction naturelle qui ne peut se transmettre que par les gènes. La mère supérieure de l'Institut Ste-Ursule, soeur Emilienne, la mère supérieure, apprécierait la jeune fille que Soeur Dominique s'apprêtait à lui livrer.
Accessoirement, elle se montrerait très généreuse pour Soeur Dominique, comme la fois précédente où elle lui avait amenée une élève prometteuse. L'Institut Ste-Ursule était une école très particulière dont l'éducation choquait un peu la bonne conscience de Soeur Dominique. Mais le chèque que lui remettrait Soeur Emilienne ferait taire ce reste de morale.
Justine ne perdait rien du spectacle du paysage. Au couvent, elle ne sortait jamais, les lectures étaient soigneusement filtrées et le seul homme que Justine rencontrait était le Père Damien, son confesseur, qui l'écoutait et la jugeait sévèrement toutes les semaines. Pour elle, tout était nouveau.
Les deux femmes descendirent à L., où une voiture les attendait. C'était une limousine noire, que le chauffeur conduisait à bonne vitesse, sans dire un mot. Ils avaient bien roulé pendant une heure lorsque la voiture s'engagea dans une grande propriété, entourée de hauts murs et surveillée par des gardes tenant en laisse d'impressionnants molosses. Après avoir parcouru une longue allée bordée d'arbres centenaires la voiture stoppa devant le perron d'une grande bâtisse sombre.
Sans se préoccuper du maigre bagage de Justine, Soeur Dominique, visiblement familière des lieux, s'engagea dans un profond couloir pour frapper à une porte. Un "entrez" sec retendit immédiatement et Soeur Dominique fit entrer la jeune fille. C'était un bureau immense, sombre néanmoins, au fond duquel une immense table couverte de livres cachait à demi une femme vêtue de noir, qui se leva à leur approche.
-
Ma mère, voilà la jeune fille dont je vous ai parlé.
-
Approche toi de la fenêtre, que je te voie.
La jeune fille, intimidée par cette grande femme sèche, vient se placer à la lumière.
-
Elle a ses dix-huit ans?
-
Depuis hier, ma mère.
La mère supérieure appuya sur une sonnette qui provoqua immédiatement l'arrivée d'une autre soeur.
- Installe-la dans le boudoir et prépare l'examen d'entrée, j'ai à faire avec Soeur Dominique.
La soeur emmena Justine.
-
Vous connaissez nos conditions? A-t-elle de la famille?
-
Non, ma mère, elle est orpheline à la suite de l'accident de voiture de ses parents. Tous les papiers ont été détruits, elle n'a pas d'existence légale.
-
Vierge, bien sûr?
-
Comme à la naissance, ma mère, elle n'a jamais vu d'homme sauf le père Damien.
-
Bien, bien. Bonne santé?
-
Le carnet est là.
-
Tout ceci semble convenir, dit la Mère supérieure, je vous règle comme d'habitude. Elle sortit une cassette d'une armoire et compta les billets.
-
50 000. Mais je veux que toute trace de son passage au couvent disparaisse et qu'on ne prononce même plus son nom!
-
Vous serez obéie, ma mère. Soyez-en sûre.
-
Bien, alors, vous pouvez partir, il faut que je m'occupe d'elle.
Et sans plus d'égard, elle congédia la vieille et sortit. Justine frissonnait. La soeur l'avait laissée ainsi, debout dans cette grande pièce, traversée par un rideau et seulement meublée d'une longue table derrière laquelle se trouvaient trois chaises. Elle était intriguée et même elle avait peur. On ne lui avait rien dit de ce qui l'attendait, et bien sûr, elle n'avait posé aucune question, mais elle avait lu dans les regards de celles qui l'entouraient une étrange inquiétude. Elle se demandait dans quelle sorte d'école elle se trouvait.
La mère supérieure entra. C'était une grande femme sans âge, longue, à l'apparence très froide. Quelque chose choquait dans sa tenue. En fait, on se rendait compte que sa soutane, loin d'être rude et informe était faite de satin noir, et bien prise à la taille, de manière à faire ressortir les formes de la femme qui se cachait sous l'ecclésiastique. Une autre chose étonnait: elle était maquillée! Discrètement certes, mais les cils, les paupières, la peau même étaient soulignés de fard, les lèvres rehaussées d'un rouge sombre. Elle dévisageait froidement Justine. Celle-ci voulut prendre la parole :
-
Ma mère, je voudrais d'abord vous remer...
-
Tais-toi! Tu parleras quand on te donnera la parole!
La mère supérieure alla s'asseoir derrière la longue table, ouvrit le dossier qui était posé là et actionna une sonnette. Deux soeurs habillées de blanc entrèrent et vinrent à leur tour s'asseoir à côté de la mère supérieure.
- Ma fille, je vais t'expliquer la situation. Tu as tout intérêt à bien écouter car je ne répéterai pas. A Sainte-Ursule, nous formons les jeunes filles à faire partie de la meilleure société. Dans quelques temps tu seras mariée, à un homme riche, qui t'aura choisie. Tu bénéficieras par ailleurs à ta sortie d'un pécule appréciable de plusieurs centaines de milliers de francs que nous te remettrons. Bien des jeunes filles t'envieraient.
Justine n'en croyait pas ses oreilles. C'était donc ça! Pourtant le discours aussi enthousiasmant (la perspective décrite par la mère supérieure était tout ce dont rêvait Justine depuis sa plus tendre enfance) cadrait mal avait la froideur de l'accueil, le ton de Soeur Emillienne et la situation dans laquelle elle se trouvait, debout devant trois personnes se comportant comme des juges plutôt que comme des éducateurs. Soeur Emillienne continua:
-
Ceci a un prix, bien sûr. N'imagine pas que notre ordre soit riche ou bénéficie de je ne sais quels dons. Ce prix, c'est la soumission dont tu feras preuve durant ton éducation et lorsque tu rejoindras l'homme qui t'aura choisi. Tu vas être réunie bientôt avec deux de tes nouvelles camarades pour l'examen d'entrée. En attendant prends la petite porte de gauche et déshabille-toi entièrement. Tu seras appelée.
-
Ma mère...
-
Va te déshabiller! L'ordre avait claqué, sec comme un coup de fouet. Justine hésita.
-
Ma petite, apprends à obéir immédiatement. Ou bien cela se terminera mal!
Le ton de la mère supérieure ne laissait place à aucune hésitation. Justine, qui avait toujours été habituée à obéir, quitta donc la pièce pour se retrouver dans un petit cabinet ou une soeur lui réitéra l'ordre de se déshabiller. Lorsque cela fut fait, la soeur, qui était restée présente, prit tous ses habits et la laissa là, seule, nue, debout dans le réduit en attendant qu'on l'appelle.
L'attente dura longtemps sans que Justine, à qui on avait également pris sa montre soit en mesure d'évaluer sa durée. De temps en temps des éclats de voix, parmi lesquels elle reconnut la mère supérieure retentirent. Justine subissait progressivement l'atteinte d'une sourde angoisse sur l'évolution de sa situation, accrue par l'attente qui n'en finissait plus.
Soudain la porte s'ouvrit et Justine comprit qu'elle devait revenir dans la salle. La mère supérieure et les deux autres soeurs siégeaient toujours derrière la longue table, mais il y avait maintenant devant elles deux autres jeunes filles, nues comme Justine, qui se tenaient droite face à elles.
- Aligne-toi avec les autres et tiens-toi droite les mains au dos. Redresses-toi et fait ressortir ta poitrine! Le ton de la soeur était sec et n'autorisait aucune résistance.
Justine obéit et s'aligna près des deux autres filles. Les trois nonnes considérèrent leur nouveau cheptel. Incontestablement Justine était la plus belle: grande, la taille fine, les jambes musclées mais les seins et les hanches généreux, elle offrait le spectacle d'une grande beauté effarouchée. La peau fine et blanche, la fermeté de sa poitrine en dépit du volume, trahissaient son jeune âge. Les aréoles étaient larges mais claires, le téton central ferme, bien planté, de taille appréciable. Les longs cheveux retombaient sur ses épaules (on lui avait également enlevé son bandeau). Leur blondeur n'avait d'égale que celle du fin duvet qui garnissait sa toison pubienne. A côté d'elle, les deux autres filles paraissaient plus ternes.
Sa voisine était une fille de taille moyenne très mince, brune à la natte fraîchement défaite, aux seins à peine naissants et haut plantés, au sexe garni d'une toison particulièrement drue. Elle ouvrait de grands yeux étonnés sur l'étrange situation dans laquelle elle se trouvait.
L'autre était une blonde plus grosse, au visage moins fin, aux traits plus ingrats et plus tristes, possédant une poitrine très développée.
Toutefois, on voyait qu'elle n'était pas encore parvenue au terme de son développement, même si elle semblait du même âge que Justine, car le corps n'était pas encore complètement formé, les hanches se dessinait à peine et le ventre rond conservait une apparence juvénile.
Celle-ci semblait particulièrement terrorisée, tentant de dissimuler ses appâts, en serrant les cuisses et rejoignant ses mains croisées devant son pubis.
- Toi! La mère supérieure désignait Justine. Tu es le numéro 53. Souviens-toi en bien! Ici, tu t'appelleras Elodie. Toi! (La brunette), Numéro 54. Tu t'appelleras Marie. Et toi! (La grosse blonde), numéro 55, Louise. Soeur Sidonie, passez-leur le collier.
La soeur passa au cou de chacune des filles un collier de cuir muni d'une large médaille où était gravé leur nouveau prénom et, au dos, leur numéro matricule. La mère supérieure poursuivit:
- Ici votre vie sera organisée et planifiée afin que nous fassions de vous des femmes utiles et socialement adaptées. Le régime sera le suivant: levées à sept heures, réveil musculaire à sept heures et demie, scolarité de huit à treize, déjeuner, et de quatorze à vingt heures: éducation générale. Ah, à propos, ici, vous circulerez nues. Vous suivrez vos cours nues, vous dormirez nues. C'est excellent pour la santé. Vos vêtements sont confisqués ainsi que vos affaires personnelles. Vous n'en avez pas besoin, tout cela sera donné aux pauvres. Passons à l'examen, soeur Aline!
L'une des deux nonnes en blanc se leva, l'autre la suivit munie d'un dossier. Elles s'approchèrent des filles, se dirigeant vers la grosse blonde, nouvellement dénommée Louise.
-
Mains dans le dos! La fille hésita, par crainte ou tout simplement par pudeur. Soeur Aline ne dit rien, vint se placer derrière la fille, et sortant une cravache de sa soutane, asséna un coup cinglant sur les fesses de la fille, qui hurla aussitôt plaquant ses mains sur ses fesses.
-
Ah oui, j'oubliais! ajouta la mère supérieure. Ici, on ne répète jamais les ordres. Il y a une échelle des sanctions, que vous découvrirez, la punition de base est le coup de cravache. Pour celles qui sont rétives, cela peut aller beaucoup plus loin. Je vous invite à ne pas à chercher à en savoir plus.
La fille pleurait à chaudes larmes. La mère supérieure n'en semblait pas particulièrement émue. Soeur Aline se mit alors à son examen: elle fit ouvrir la bouche à la fille, examina soigneusement la dentition. Elle coupa une mèche de cheveux qu'elle plaça dans une boite à échantillon, fit de même avec une touffe du pubis, également blond, bien sûr, mais d'une teinte légèrement plus foncée. Elle prit les mensurations, s'attardant longuement sur les seins que la fille avait volumineux.
Elle les malaxa, tira sur les pointes, cherchant à apprécier la fermeté et l'élasticité des attributs mammaires. Elle la fit avancer devant la table et placer l'une après l'autre ses mamelles sur le plateau d'une balance:
- Un kilo, cent cinquante! Pas mal...
La fille pleurait d'humiliation, de grosses larmes coulant sur ses joues. D'un geste énergique, soeur Aline tira le rideau qui coupait la salle en deux dégageant ainsi une sorte de coin médical au centre duquel se trouvait une table gynécologique munie de lanières.
- Viens ici!
La fille, désormais soumise, fut placée sur la table, tenue étroitement en position à l'aide des lanières autour des chevilles, des poignets, de la taille et du cou. Soeur Aline fit manœuvrer l'ensemble pour ouvrir largement les cuisses de la jeune fille, tremblante de peur. S'emparant de pinces métalliques, la soeur, après avoir écarté la toison pubienne de Louise, les fixa sur les grandes lèvres. Immédiatement la fille beugla, ce qui eut pour effet de déclencher une volée de paires de gifles qui la firent rapidement taire.
- Si tu continues, je te bâillonne, tu verras, c'est encore beaucoup plus pénible!
Les pinces étaient reliées à de fines chaînettes, ce qui permit à la nonne, en les fixant aux montants de la table, d'ouvrir largement le sexe de la fille. Puis, elle fit de même avec les petites lèvres ce qui permit d'exposer ainsi de façon plus commode le vagin de Louise. Désirant être plus à l'aise, elle augmenta la tension des chaînettes, ce qui provoqua des gémissements vite réprimés de la grosse fille, mais permit incontestablement de bien dégager son sexe. Elle put alors entreprendre l'examen gynécologique.
-
Elle est bien vierge...
-
C'est heureux, répliqua la mère supérieure. Pour le prix! Sachez, mesdemoiselles que votre virginité constitue votre bien le plus précieux. Si, par hasard, vous perdiez votre hymen, vous ne nous seriez plus d'aucune utilité, et nous en tirerions immédiatement les conséquences!
L'examen minutieux continuait. La seconde soeur notant sur le dossier mensurations et observations que sa collègue énonçait à voix haute. Visiblement, soeur Aline ne prenait aucune précaution pour éviter de faire souffrir la fille et Louise ne pouvait réprimer de gros sanglots de douleur. Les deux autres filles, bien droites comme on leur avait demandé de le faire, se taisaient, terrorisées, affolées à l'idée d'avoir, à leur tour à subir ce traitement. Entre temps, soeur Aline avait terminé l'examen gynécologique. Aidée de sa collègue, elle manœuvra alors la table de telle manière qu'elle releva bien haut les jambes de la fille, toujours à l'équerre et dégagea ainsi l'anus.
- Cet endroit de votre corps est très important. Pendant votre éducation, vous ne pourrez être pénétrées que par là et c'est cet endroit qui vous permettra de vous constituer votre pécule. Il faut donc qu'il soit souple à souhait, puisse s'ouvrir largement et se contracter à nouveau rapidement. Si vous n'avez pas cette disposition de manière naturelle, nous pouvons vous y aider par des traitements appropriés.
Soeur Aline introduisit alors une sorte de canule mécanique dans l'anus de la fille. Comme elle n'avait pas pris l'élémentaire précaution d'enduire l'engin d'un corps gras, la pénétration fut difficile, même si le diamètre de la canule était réduit et la fille gémit beaucoup, au point qu'on dut la bâillonner avec une poire d'angoisse.
Puis, quand elle fut introduite à fond, la soeur entreprit d'écarter l'orifice de la fille en tournant une molette qui ouvrait la canule. Elle manœuvrait lentement, progressivement, mais avec régularité, observant la progression de l'ouverture à l'aide d'une règle graduée.
Sans se préoccuper des beuglements étouffés de la fille, elle poursuivit son mouvement jusqu'à ce que l'anus fût largement ouvert, les chairs tendues à l'extrême, à la limite du déchirement.
-
Sept centimètre six. Je ne peux pas aller plus loin, elle ne tiendra pas!
-
C'est peu, dit la mère supérieure. Voyons comment elle se rétracte.
La soeur desserra alors la molette afin que l'anus reprenne ses dimensions d'origine. Elle comptait mentalement le temps nécessaire. C'était visiblement trop long à son goût. La grosse fille fut libérée de ses liens et invitée à se remettre en ligne avec ses camarades dans la position demandée, ce qu'il fut inutile de préciser. Elle baissait la tête, épuisée et envahie de honte.
- Marie! La jeune brunette se raidit. L'examen recommença.
Lorsque soeur Aline s'intéressa à la poitrine, elle montra une moue qui traduisait une certaine perplexité. Celle-ci était charmante: bien pointue, avec des aréoles de très faible diamètre d'un rose pâle rehaussant un téton petit et très lisse. Toutefois l'on convint immédiatement qu'elle était bien trop menue. Il était même tout à fait impossible de la peser. Si cette particularité donnait un charme gracile à la jeune fille, elle pouvait constituer une certaine déconvenue pour les futurs utilisateurs, amateurs de charmes généreux à la hauteur de la redevance qu'on leur demandait en échange.
- Il faudra la traiter pour donner plus de volume à ses seins. Si on ne veut pas les détériorer, elle n'a jamais servi, il faudra probablement procéder par injection. Qu'en pensez-vous soeur Aline?
Cette dernière malaxait la jeune poitrine, faisant rouler les seins sous ses doigts, arrachant des grimaces de douleur à la fille.
- Sans problème ma mère. La peau est tendre et élastique. Par contre on ne pourra pas, par injection, la faire grossir de plus de cinq à six cent grammes par sein.
La fille pâlit affreusement au point qu'elle vacilla.
- Ce sera suffisant, Elle a la taille très fine, au delà, ce serait disgracieux.
L'examen repris son cours. Marie se révélait plutôt sage et obéissante, émettant à peine un petit cri quand la mère supérieure écarta les lèvres de son sexe, qu'elle avait étonnamment petit et resserré. Toutefois l'incident se produisit lorsque les nonnes entreprirent de mesurer son élasticité anale.
Elle était très étroite et lorsque l'appareil commença à distendre les chairs, elle se mit à pousser des cris aigus, à se débattre et parvint même à dégager une jambe de la gorge métallique qui la maintenait écartée. Les deux nonnes eurent fort à faire pour la réajuster en position, au risque que l'appareil ne la déchire. La mère supérieure était furieuse. Elle se leva et s'approchant de la fille toujours attachée, la gifla à plusieurs reprises à la volée.
- Petite misérable, tu n'as pas à te rebeller. Tu aurais pu déchirer ton anus et gâcher la marchandise que tu représentes. Tu seras punie dès la fin de cette séance.
La petite était terrorisée, mais calmée. Lorsque l'examen continua et que la mesure d'élasticité anale reprit, elle se tut, serrant les dents. En fait, il apparut que la souplesse était bonne, elle atteint dix centimètres et revint en position refermée en quelques minutes. Toutefois, quand elle fut détachée, sœur Aline lui passa des menottes de cuir avant de la renvoyer à sa place. C'était maintenant le tour de Justine.
- Elodie, c'est à toi.
Celle-ci avait compris que la meilleure manière de ne pas trop souffrir était d'obéir et de se montrer la plus docile possible. Soeur Aline semblait apprécier la beauté d'Elodie (nous l'appellerons donc ainsi à compter de maintenant). Les cheveux et poils d'un blond uniforme et clair, la dentition parfaite, le visage régulier, les oreilles petites et collée. Elle était magnifique.
-
Presque un kilo, lança la nonne, après avoir pesé les seins. Parfait!
-
Regardez si on peut l'infibuler, ce pourrait être très joli!
-
Tout à fait, les tétons sont développés et fermes, on pourra probablement y passer des anneaux de cinq millimètres si nécessaire.
Commença l'examen gynécologique. On posa les pinces aux lèvres, elles mordirent la chair tendre, elle ne dit rien et serra les dents. On écarta ses lèvres avec quelques difficultés car elle était serrée, Elodie ne bronchait pas. Le sexe d'Elodie était petit. Les lèvres de faible dimension, la fente courte. Soeur Aline s'en étonna.
-
Un peu juste quand même, elle peut être déchirée si le membre qui la pénètre est trop gros!
-
Peut-être, mais tu sais bien que c'est une sensation qui est appréciée de nos clients, et qu'ils sont prêts à payer très cher pour cela!
Elodie était parcourue d'un long frisson et, si elle n'avait été allongée et soigneusement attachée, elle eut probablement défailli. Elle montrait pour l'instant une pâleur extrême.
L'examen de l'anus s'avéra aussi satisfaisant, l'élasticité du jeune corps faisait merveille. Et même quand elle atteignit elle aussi dix centimètre, les chairs tendue à rompre, elle ne gémit pas. L'appareil relâcha son écartement d'un coup, son trou anal reprit rapidement sa dimension initiale. Enfin, elle fut détachée et on les réaligna. La mère supérieure prit la parole:
- Bon! Elodie et Marie, vous êtes admises en catégorie un. C'est à dire que vous allez être éduquées en filles exceptionnelles. Votre virginité sera préservée jusqu'à votre vente à celui qui sera un probablement votre mari. Vous valez cher, vous gagnerez gros et ne regretterez pas l'éducation sévère de notre institut. Quant à toi Louise, tu es de second choix. Tes formes sont trop lourdes et trop molles, même en tenant compte du régime sévère que tu suivras en ces lieux et qui te redonnera bien vite une silhouette acceptable. Tu serviras néanmoins à l'entraînement et tu n'auras pas non plus à te plaindre mais nous ne pourrons pas exiger pour toi le même niveau d'engagement financier de la part de ceux que tu pourrais intéresser. Quand à ta virginité, il faudra la vendre assez rapidement, comme cela tu pourras être facilement utilisable. Mesdemoiselles, on va vous raccompagner dans vos cellules en attendant de dîner. Ce soir, il y a spectacle! Quant à toi, Marie, tu dois subir ta punition! Ce sera toi le spectacle! Qu'on l'emmène et la prépare!
La suite est légèrement .... plus hard !
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